Scrutatio

Lunedi, 13 maggio 2024 - Beata Vergine Maria di Fatima ( Letture di oggi)

Livre d'Isaïe 20


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BIBLES DES PEUPLESBIBLES DES PEUPLES
1 Cette année-là, Sargon roi d’Assyrie envoya son général en chef à Ashdod pour l’attaquer, et il s’en empara.1 Cette année-là, Sargon roi d’Assyrie envoya son général en chef à Ashdod pour l’attaquer, et il s’en empara.
2 Alors Yahvé parla ainsi par la bouche d’Isaïe fils d’Amos: “Va, lui dit-il, laisse pendre un sac de ta ceinture, et enlève les sandales de tes pieds.” Il fit ainsi et il allait nu, déchaussé.2 Alors Yahvé parla ainsi par la bouche d’Isaïe fils d’Amos: “Va, lui dit-il, laisse pendre un sac de ta ceinture, et enlève les sandales de tes pieds.” Il fit ainsi et il allait nu, déchaussé.
3 Yahvé dit alors: “Mon serviteur Isaïe a marché nu et déchaussé pendant trois ans: c’était un signe et un avertissement pour l’Égypte et pour Kouch.3 Yahvé dit alors: “Mon serviteur Isaïe a marché nu et déchaussé pendant trois ans: c’était un signe et un avertissement pour l’Égypte et pour Kouch.
4 De même le roi d’Assyrie emmènera les prisonniers d’Égypte et les captifs de Kouch, les jeunes comme les vieux, nus, déchaussés et les fesses à l’air, à la honte de l’Égypte.4 De même le roi d’Assyrie emmènera les prisonniers d’Égypte et les captifs de Kouch, les jeunes comme les vieux, nus, déchaussés et les fesses à l’air, à la honte de l’Égypte.
5 Les gens seront effrayés, désemparés, car Kouch était leur espérance, et l’Égypte leur fierté.5 Les gens seront effrayés, désemparés, car Kouch était leur espérance, et l’Égypte leur fierté.
6 En ce jour-là les habitants de la côte diront: ‘Regardez ce qu’est devenu le pays sur lequel nous comptions! Nous allions chercher là-bas une protection pour nous défaire du roi d’Assyrie; mais maintenant, comment échapperons-nous?’ ”6 En ce jour-là les habitants de la côte diront: ‘Regardez ce qu’est devenu le pays sur lequel nous comptions! Nous allions chercher là-bas une protection pour nous défaire du roi d’Assyrie; mais maintenant, comment échapperons-nous?’ ”