Scrutatio

Lunedi, 13 maggio 2024 - Beata Vergine Maria di Fatima ( Letture di oggi)

Deuxième épître aux Corinthiens 7


font
BIBLES DES PEUPLESJERUSALEM
1 Avec de telles promesses, mes bien-aimés, il faut nous purifier de toutes impuretés de corps et d’esprit et mener à bien notre sanctification dans la crainte de Dieu.1 En possession de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair etde l'esprit, achevant de nous sanctifier dans la crainte de Dieu.
2 Réservez-nous une place chez vous. Nous n’avons fait de tort à personne; nous n’avons méprisé personne, nous n’avons profité de personne.2 Faites-nous place en vos coeurs. Nous n'avons fait tort à personne, nous n'avons ruinépersonne, nous n'avons exploité personne.
3 Je ne vous accuse pas: je vous ai déjà dit que vous êtes dans notre cœur jusqu’à vivre et mourir ensemble.3 Je ne dis pas cela pour vous condamner. Je vous l'ai déjà dit: vous êtes dans nos coeurs à la vieet à la mort.
4 Je sais que je peux compter sur vous et je suis fier de vous; j’en suis très réconforté et c’est pour moi une grande joie dans mes épreuves.4 J'ai grande confiance en vous, je suis très fier de vous. Je suis comblé de consolation; jesurabonde de joie dans toute notre tribulation.
5 Voilà donc qu’en arrivant en Macédoine nous n’avons eu aucun répit sur le plan humain, avec des épreuves de toutes sortes: au-dehors, des affrontements, et en nous-mêmes des craintes.5 De fait, à notre arrivée en Macédoine, notre chair ne connut pas de repos. Partout destribulations: au-dehors, des luttes; au-dedans, des craintes.
6 Mais Dieu qui réconforte les humbles nous a réconfortés avec l’arrivée de Tite.6 Mais Celui qui console les humiliés, Dieu, nous a consolés par l'arrivée de Tite,
7 Non seulement à cause de sa présence, mais aussi parce que vous l’aviez grandement réconforté. Il nous a dit combien vous m’étiez attachés, et votre regret, et votre indignation pour ce qui me touchait, de sorte que j’en étais tout joyeux.7 et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que vous-mêmes lui aviezdonnée. Il nous a fait part de votre ardent désir, de votre désolation, de votre zèle pour moi, si bien qu'en moi lajoie a prévalu.
8 Et si je vous ai fait de la peine avec ma lettre, je ne le regrette pas. J’aurais pu la regretter car je vois que cette lettre vous a fait de la peine pendant un moment.8 Vraiment, si je vous ai attristés par ma lettre, je ne le regrette pas. Et si je l'ai regretté - je voisbien que cette lettre vous a, ne fût-ce qu'un moment, attristés --
9 Mais maintenant je suis heureux, non de votre peine, mais parce que cette peine vous a amenés à la repentance. Votre peine était selon Dieu, de sorte que vous n’avez rien perdu par notre faute.9 je m'en réjouis maintenant, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que cette tristessevous a portés au repentir. Car vous avez été attristés selon Dieu, en sorte que vous n'avez, de notre part, subiaucun dommage.
10 Quand la peine est selon Dieu, elle amène le repentir et produit une œuvre de salut qui ne se perdra pas; au contraire, si la peine est selon le monde, elle fait une œuvre de mort.10 La tristesse selon Dieu produit en effet un repentir salutaire qu'on ne regrette pas; la tristessedu monde, elle, produit la mort.
11 Votre tristesse était bien selon Dieu, à voir ce qu’elle a produit: votre empressement pour prendre ma défense, votre indignation, vos craintes, vos exigences, votre volonté de faire justice. On a vraiment pu voir que vous étiez innocents en cette affaire.11 Voyez plutôt ce qu'elle a produit chez vous, cette tristesse selon Dieu. Quel empressement!Que dis-je? Quelles excuses! Quelle indignation! Quelle crainte! Quel ardent désir! Quel zèle! Quelle punition!Vous avez montré de toutes manières que vous étiez innocents en cette affaire.
12 Aussi bien, en vous écrivant, je ne pensais pas d’abord à celui qui a mal agi ni à celui qui a été offensé; c’était pour que vous montriez l’attachement que vous avez pour moi, et que vous en preniez conscience devant Dieu.12 Aussi bien, si je vous ai écrit, ce n'est ni à cause de l'offenseur ni à cause de l'offensé. C'étaitpour faire éclater chez vous devant Dieu l'empressement que vous avez à notre égard.
13 Donc je me suis senti bien réconforté. Outre ce réconfort, c’était une grande joie pour moi de voir Tite si content, car vous tous l’aviez tranquillisé.13 Voilà ce qui nous a consolés. A cette consolation personnelle s'est ajoutée une joie bien plusgrande encore, celle de voir la joie de Tite, dont l'esprit a reçu apaisement de vous tous.
14 Je m’étais montré assez fier de vous devant lui et je ne l’ai pas regretté. De même que je ne vous avais pas menti, cette fierté non plus et ce que j’avais dit à Tite à propos de vous n’était pas faux.14 Que si devant lui je me suis quelque peu glorifié à votre sujet, je n'ai pas eu à en rougir. Aucontraire, de même qu'en toutes choses nous vous avons dit la vérité, ainsi ce dont nous nous sommes glorifiésauprès de Tite s'est trouvé être la vérité.
15 Et il vous reste très attaché quand il se rappelle votre obéissance à tous et comment vous l’avez reçu avec “crainte et tremblement”.15 Et son affection pour vous redouble, quand il se rappelle votre obéissance à tous, commentvous l'avez accueilli avec crainte et tremblement.
16 Je suis vraiment heureux de pouvoir ainsi compter sur vous.16 Je me réjouis de pouvoir en tout compter sur vous.